Installer le framework Genesis ne pose aucun problème. Il suffit de suivre pas à pas la doc de démarrage (genesis-for-beginners-v2.pdf) ainsi que les indications de leur site.
En effet, sous WordPress, rien de plus simple que d’installer un thème : il suffit de cliquer dans la rubrique qui va bien dans le menu du tableau de bord, et de suivre les indications.
Là (ie dans le cas de Genesis), on n’installe pas un thème mais deux, successivement, et dans cet ordre :
- Le thème Genesis qui sera l’outil de travail apportant fonctionnalités et possibilités diverses de paramétrage, qu’il convient de ne pas bidouiller afin de pouvoir bénéficier de ses futures mises à jour sans devoir modifier quoi que ce soit,
- Le thème enfant Genesis Sample dont on pourra modifier certains fichiers, pour autant que ce soit nécessaire et qu’on sache ce qu’on fait.
On pourrait bien sûr choisir un autre thème enfant mais n’ayant pas assez d’expérience de cet environnement pour faire un choix pertinent, je m’en suis tenu à celui qui est livré par défaut dans l’offre minimale (60 US$) de Genesis. La multiplicité des options de configuration et des extensions installables me laisse penser que j’ai bien fait.
On termine en activant le thème enfant (facile, cliquer sur « activer »).
Pour mettre en oeuvre l’outil ainsi installé, je me suis rendu sur quelques sites d’utilisateurs chevronnés histoire d’y voir plus clair. Ils m’ont plus convaincu de leur virtuosité que vraiment aidé à démarrer. J’ai donc décidé de simplement commencer à « jouer avec » WordPress + Genesis. Inconvénient : ça manque un peu de méthode et ça donne ce que ça peut. Avantage : on comprend très vite comment tout ça s’articule, et du coup les sites un peu hermétiques du début deviennent rapidement tout à fait lisibles ; je ne comprends toujours pas tout, mais maintenant je sais de quoi ils parlent et à quoi ça peut bien me servir.
Après avoir commencé à paramétrer un embryon de page d’accueil proposant une partie blog et une partie site statique, je me suis lancé bravement et d’emblée dans l’importation de mon ancien site web hébergé chez Free. Quitte à faire des essais, autant faire en sorte que ça serve à quelque chose. Et à quelqu’un grâce au présent blog. Ce sera l’objet d’un prochain article.
Mais déjà, mon opinion est faite : le mieux, pour démarrer avec WordPress et Genesis (ou un autre thème) est
- de se lancer sans se poser trop de questions car l’ensemble est assez bien auto-documenté,
- et de chercher une à une les solutions aux problèmes successifs que l’on rencontre.
Après tout, si on fait une grosse bourde (genre suivre un mauvais conseil ou mal suivre un bon conseil), on peut toujours refaire ce qu’on a fait. Et comme au passage on aura appris à faire une sauvegarde, on ne sera pas forcément obligé de reconstruire le site depuis le début.