La suite logique de l’étude de l’atterrissage serait bien sûr celle du décollage, et quelques visiteurs de ce site m’ont écrit pour me dire qu’ils seraient intéressés. Il va donc falloir que je m’y mette un jour…
Déjà, dans cette édition, j’ai progressé dans le bon sens puisque j’ai ajouté la modélisation de la force de traction du groupe moto-propulseur, et le calcul des performances de montée à pente et vitesse constantes. Mais il manque encore l’étude du roulement, de la rotation, etc.
Ceci dit, l’urgence de cette étude du décollage est toute relative car la réponse figure explicitement dans le manuel de vol. En fait, son intérêt serait surtout d’affiner les paramètres du modèle avec un cran de volets, et donc d’augmenter la précision des distances d’atterrissage calculées dans la même configuration.
Ensuite, il faudrait aussi qu’un jour j’ajoute la vitesse du vent dans l’axe de la trajectoire. Et que je regarde l’influence de la pente de la piste sur la distance d’atterrissage, et, plus tard, de décollage.
Enfin, il serait peut-être prudent que je mette ici ou là un paragraphe « parapluie » à propos des distances d’atterrissage calculées avec un cran de volets, incitant le lecteur à les vérifier sur piste longue avant de compter dessus sur piste courte…